Débrief’ mag | n°02

Chères lectrices, chers lecteurs,
Quel plaisir de vous retrouver pour ce second Débrief’Mag qui – j’ose espérer – vous ravira autant que le premier.

D’aucuns prédisaient l’année 2020 comme une année charnière, l’année dont tout le monde allait se rappeler. Cependant, nous nous souviendrons certainement de cette pandémie qui – pour des raisons sanitaires – a considéré nos libertés comme des simples laissés-pour-compte. Puis, les crises se sont enchaînées les unes après les autres: crise sociale, crise énergétique, crise économique, crise écologique et j’en passe; ne laissant ainsi qu’un présage sombre pour l’avenir de nos jeunes.

La jeunesse qui est également touchée par des crises existentielles: wokisme et culture d’annulation (cancel culture). Cette jeunesse ne peut malheureusement plus s’exprimer librement sous peine de passer sous le joug de l’idéologie bien-pensante actuelle. Sans repère, sans culture, sans histoire, sans fierté pour son pays, cette dernière ne peut plus avancer, ne peut plus penser par elle-même ! Heureusement, elle est écoutée et aidée; j’en veux pour exemple – pour n’en citer qu’un – la réforme de l’enseignement supérieur promulguée par notre Ministre Valérie Glatigny. Cette correctio non grata est frappée d’ostracisme par la cohorte estudiantine qui fait trop souvent preuve d’incompréhension.

Nonobstant, malgré les crises, nous avons, jeunes et aînés, essayé de protéger et défendre nos droits fondamentaux. Un de ces droits est celui d’avoir une mort décente et paisible. Thème encore tabou à l’heure actuelle tant par les religions que par certaines personnes du monde médical, l’euthanasie est le sujet qui nous occupera tout au long de ce magazine. Loin de nous l’envie de vous inculquer une quelconque pensée, il nous semblait important de vous proposer un petit retour historique, un comparatif entre certains pays de l’Union européenne, une interview exclusive de “Docteur Death” et bien plus encore. Le but étant de vous donner toutes les clés pour laisser place à votre libre arbitre puisque “penser fait la grandeur de l’homme” comme l’aurait dit Blaise Pascal.

Excellente lecture!

Gauthier JACQUES
Rédacteur en chef.